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Merci pour cette réflexion passionnante! "Le potentiel du moins" me fait penser à un article lu dans Cerveau & Psycho l'année dernière : "Le paradoxe de la draisienne : moins, c'est mieux". L'étude dont il est question est également reprise ici, en accès libre : https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/36123-Le-cerveau-prefere-additionner-rajouter-soustraire-et-supprimer

En substance : "le cerveau humain se tourne naturellement vers l’ajout de nouveaux éléments pour résoudre un problème". La soustraction demanderait plus d'efforts cognitifs et/ou pourrait pâtir de notre aversion à la perte.

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ca me fait penser a Antifragile de Nassim Taleb (et plus globalement tout son ‘Via Negativa’) 👇

“The Fragility of the New

In this chapter we introduce the idea of making progress by taking away what’s fragile and flawed, rather than by adding new ideas and inventions to our systems. In other words, we can move toward antifragility by eliminating fragility.

This chapter also discusses people’s illogical obsession with new things. Looking through the lens of antifragility, it’s clear that something that’s withstood the test of time is almost guaranteed to be better than something new, whose fragility hasn’t yet been tested. Old ideas and technologies will generally outlive new ones. In spite of that, many people are constantly chasing after the “hot new thing.”

Progress Through Negation”

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Merci beaucoup ! Je n'avais pas fait le lien mais cette citation est très éclairante.

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Un point de vue passionnant vu notre nouveau contexte de sobriété...

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