Pour pousser le sujet sur la laideur à laquelle sont confrontés les personnels de santé, je vous propose de regarder un court extrait de ce que dit Cynthia Fleury sur l'importance de "préserver une vue, d'avoir accès à l'horizon". Voici un tout petit extrait : https://www.youtube.com/watch?v=QLq3c7gKPsw
A propos des Luddites et de la lutte contre l'utilisation de l'IA, l'IA ne poserait de problème à personne, au contraire, si la richesse produite grâce à elle était équitablement partagée. Par exemple, si une entreprise qui utilise l'IA à la place d'employés licenciés, les dédommage à hauteur du salaire perdu.
Dans ce cas, l'entreprise ne licencierait que si utiliser l'IA générait plus que le coût de ce dédommagement, et tout le monde serait gagnant : l'entreprise qui augmente son bénéfice et l'employé qui est rémunéré sans travailler
Merci pour ce commentaire éclairant ! Nous avons besoin d'intégrer la question de la répartition de la valeur dans la réflexion, plutôt que de caricaturer le débat dans une opposition stérile entre rejet de la technologie ou soutien béat.
Merci pour le partage de l'entrevue de Julia Faure de Loom sur BFM TV.
Cela me rappelle que bien que le monde s'effondre chaque jours par coup de fraction, des forces souterraines elles, régénèrent ce même monde dans le même temps, et que chaque jour nous avons le choix de mettre notre énergie d'un côté ou de l'autre en espérant que la bascule devienne un jour inévitable.
Pour pousser le sujet sur la laideur à laquelle sont confrontés les personnels de santé, je vous propose de regarder un court extrait de ce que dit Cynthia Fleury sur l'importance de "préserver une vue, d'avoir accès à l'horizon". Voici un tout petit extrait : https://www.youtube.com/watch?v=QLq3c7gKPsw
Merci de partager cette précieuse ressource !
A propos des Luddites et de la lutte contre l'utilisation de l'IA, l'IA ne poserait de problème à personne, au contraire, si la richesse produite grâce à elle était équitablement partagée. Par exemple, si une entreprise qui utilise l'IA à la place d'employés licenciés, les dédommage à hauteur du salaire perdu.
Dans ce cas, l'entreprise ne licencierait que si utiliser l'IA générait plus que le coût de ce dédommagement, et tout le monde serait gagnant : l'entreprise qui augmente son bénéfice et l'employé qui est rémunéré sans travailler
Merci pour ce commentaire éclairant ! Nous avons besoin d'intégrer la question de la répartition de la valeur dans la réflexion, plutôt que de caricaturer le débat dans une opposition stérile entre rejet de la technologie ou soutien béat.
Merci pour le partage de l'entrevue de Julia Faure de Loom sur BFM TV.
Cela me rappelle que bien que le monde s'effondre chaque jours par coup de fraction, des forces souterraines elles, régénèrent ce même monde dans le même temps, et que chaque jour nous avons le choix de mettre notre énergie d'un côté ou de l'autre en espérant que la bascule devienne un jour inévitable.
Je n'aurais pas mieux dit ! Merci Jonathan
je lis en ce moment 'Eloge du Bricolage' de Fanny Lederlin -- tout a fait dans la lignee, je te conseille.
C'est vrai, il faudrait que je me replonge dedans !